Aujourd’hui, c’était la montée des marches… je suis canné.

A cannes, pas encore. Le château des Fontenelles, bien que paré de longue date de ses lettres de noblesse, n’est pas encore une vedette du septième art. Et pourquoi toujours parler de ces 24 petites marches tapissées de rouge, alors que la seule chose qui compte ce sont les nombreuses célébrités derrières lesquelles elles disparaissent !

A paris, j’aurai pu tester :

  • Les 189 marches l’escalier de la rue du Mont-Cenis, ou les 222 marches qui longe la rampe du funiculaire en partant de la rue Foyatier sur la butte Montmartre
  • Les 284 marches de l’arc de Triomphe
  • Les 704 marches qui montent au deuxième étage de la Tour Eiffel, ajouter la montée au troisième, si l’accès n’était pas interdit, pour ajouter 961 marches soit un total de 1665 marches
  • Etc…

Mais non aujourd’hui j’étais en Bretagne.

 Alors le phare de Fréhel et ses 145 marches, ou les 307 marches du phare d’Eckmühl ?

Non, non et non ! Aucun de ces sept escaliers n’a occupé ma journée. Ce sont seulement les 37 marches, hautes et irrégulières qui mènent au grenier du Château des Fontenelles, qui m’ont permis de gravir plus que ces 2 552 marches évoquées.

Avec un peu plus de 70 ascensions et surtout autant de descente, avec dans chaque main un seau de près de 20kg de tomettes, puis de parquet, soit près de trois tonnes de matériaux … j’ai nettoyé deux pièces sous les toits!

Ces plus de 5 000 marches m’ont convaincus que notre projet allait me faire une belle jambe !