Suite… prévisible

J’aurais aimé, malheureusement il est encore trop tôt, vous faire découvrir une des magnifiques suites qui ouvriront courant 2015 au château des Fontenelles. Celle-ci, outre son cadre paisible, ses couleurs douces et son éclairage feutré, ses équipements de confort moderne, sa vue sur les jardins de la propriété, sera l’endroit idéal pour venir dormir en pays de Rennes.

Mauvais en orthographe depuis toujours j’aurais pu vous parler de la suite de reine. Mais un je sais écrire Rennes et deux il ne semble pas qu’un quelconque membre de la famille royale n’ait jamais fréquenté le château des Fontenelles.

Ceux qui me connaissent passionnés par les mathématiques ont éventuellement pensé que Fibonnaci* hantait mes débuts de nuits. En essayant de calculer à quelle date la capacité de nos  futurs gîtes seraient saturés en appliquant celles-ci aux flyers, aux prospects ou aux clients. Là encore je réponds non (par contre je reste intéressé par l’éventuelle réponse).

Alors la fatigue, qui me fait écrire suite, alors que je voulais parler d’un mot usité, pour définir les étuis de verdures où le château des Fontenelles est  situé!

Ceux-là ont découvert un élément de la suite, la fatigue, mais les anagrammes sont un effort supplémentaire inutile.

En réalité seuls ceux qui ont lu l’article précédent comprendront qu’une suite de plus de 5000 marches, laissent camper les crampes toute la nuit dans vos jambes.

 

 

*Léonard de Pise (dit Fibonacci), qui naquit vers 1170 à Pise, voyagea beaucoup, grâce à l’activité de commerce maritime de son père, et découvrit les mathématiques arabes en Algérie. « Possédant initialement un couple de lapins, combien de couples obtient-on en douze mois si chaque couple engendre tous les mois un nouveau couple à compter du second mois de son existence ? »Ce problème posé lui permit de devenir le géniteur de la suite de Fibonnaci qui additionne les deux derniers nombres pour constituer le suivant…pour les passionnés internet en fait des pages.